Moi Djamba Yohé le démocrate, je répond vigoureusement au tyran Shungu Tundanonga !
Par Djamba Yohé, L'Encrier de l'Atlantique du Nord, samedi 4 février 2012 à 19:42 :: Freddy Mulongo :: #2161 :: rss
OBJET : LE TYRAN ET LE DÉMOCRATE, Tundanonga et Djamba Yohé
PRÉAMBULE
L’Homme ou la Femme que l’on voit sur la rue, dans une assemblée politique ou à un concert est rythmé à la cadence du métronome de son esprit. Il est le réceptacle de réverbérations qui affectent son corps par le canal de ses facultés intellectuelles. Les vibrations qu’il reçoit continuent leur ascension jusqu’au cerveau, c’est là que tous ces courants s’arrêtent pour être transformés en expérience ou en réaction. Le cerveau n’est qu’un moulin de tous ces affects, la main qui manipule ces opérations mentales, c’est l’esprit lui-même car l’intelligence de l’individu n’est qu’un outil comme un ciseau au service du coiffeur. L’esprit suggère à l’individu des attitudes diverses. La conscience révèle dans les réflexes et les tendances d’une personne, les phénomènes inconnus qui sont à base de son comportement au travail ou dans la société. Pour l’individu qui subit ces objections du diktat intérieure, son agir est normal puisque ces mouvements correspondent à la routine de sa personnalité, il ne se sens pas influencé par quoi que ce soit. On ira jusqu’à dire : "Que voulez-vous, c’est son habitude et la discussion s’arrête là." Tu me fais des sautes d’humeurs de ce genre là et tu me dis, "je n’aime pas ces farces là sinon je me fâche". Source : "Djamba Yohé, le 1er février 2012
I. ÉLOGE DE LA CALOMNIE
MONSIEUR SHUNGU TUNDANONGA,
Mon reflexe d'altérité, par la censure de ma conscience, m'interdit d'être équivoque et controverse avec l'humanité tant en solo qu'en convention collective. J'étudie, par tous les moyens possible et impossible d'avoir une communication interpersonnelle harmonieuse, je cherche sans cesse de m'accorder avec le temps présent et ses exigences pour éviter de manquer l'instant de l'à brûle-pourpoint d'un échange équilibré de face à face. La guerre, lorsque je suis confronté comme un soldat dans un conflit, je ne la fais pas dans le dos du combattant comme le FPR l'a faite contre les Congolais sans "Déclaration de guerre" Ce qu'il convient d'appeler la "Guerre des Grands-Lacs" est un conflit provoqué par des lâche, des escrocs et des désaxés. La preuve, ce que ceux-ci, les ennemis des Congolais, dis-je, ont massacré les femmes, les enfants et le peuple. C'est dans un décor d'horreur absolue au-dessus de tout entendement que ces crimes contre l'humanité ont eu pour paysage. Moi, "Djamba Yohé", fier comme "Rodrigue" devant "Don Gomès", je ne suis pas quelqu'un à qui l'on fait la guerre contre mon dos, je pivote avec l'agilité d'une gazelle et j'enfonce l'estocade dans le contre-mousquetaire qui m'attaque à l'insu.
Je déplore, Monsieur "Shungu Tundanonga" les stratagèmes mal entrevus qui traquent mes pas pour me faire embuscade, celui qui ose me harceler avec l'arme en contre-point reçoit de mon escrime plusieurs entailles comme celles que D'Artagnan, Aramis, Porthos et Athos ont assené à leurs adversaires imprudents. L'art du combat, en tout temps, demande au challenger d'évaluer ses chances d'affronter "Horace" avant le front. Même le Seigneur, Christ Jésus dit dans un enseignement à ses disciples :
"Que tout chef qui veut affronter son ennemi s'arrange d'Abord à compter ses troupes, lorsqu'il constate que les troupes de l'autre sont plus nombreuses, il envoie une délégation auprès de cette armée pour signer la Paix". Source : version de Djamba Yohé, de l'Évangile de Matthieu.
C'est cette sagesse qui aurait pu vous guider, Monsieur Shungu Tundanonga. Car, en tout temps, celui qui provoque une entité étrangère à soi perd toujours la guerre. Ce portrait là, c'est vous sans retouche. Parbleu, hélas, Monsieur Shungu Tundanonga, vous êtes un homme furieux comme un crocodile du Nil prêt à croquer tout gibier qui passe devant ses yeux. Vous ne réalisez même pas les potentiels de défense du challenger inopiné et calculé que vous incitez à la bagarre pour croiser les gants avec lui. Vous êtes un homme furieux, je le répète, le contenu psychologique de votre cruauté vous rend hystérique, féroce et vorace. Alors, éperdu par l'arrogance d'un orgueil improductif, vous débitez des offenses sur tout le monde. Votre ego tellement est gonflé à bloc avec des utopies chagrines que je les bloque avec des entropies sagaces. Les réponses que je dirige vers votre contorsionnaire adresse sont pour vous acculer dans les arrières d'une claustration qui vous correspond. Quel culot, croire que vous êtes pure, comme vous l'aviez déjà dit contre moi et nous autres perçu par votre ségrégation comme lessivés et impropres.
Pourquoi vouloir vous manifester négativement quand on rend hommage à une mère. À quoi bon vouloir vous interposer comme arbitre sur un terrain qui évolue sans facilitateur vu le fait qu'il n'y a rien à négocier pour tempérer les rapports en désinvolture. Vous me reprochez de produire des photos pour lesquelles j'aurai dû demander la permission. Votre astuce de chercher noise a foiré et vous êtes ridicule, tellement vulgaire que vous ne pouvez pas me répondre sur les questions d'authenticité et d'évidence sur les inventions de vos créations débiles pour me déshonorer. Si vous avez un peu de honte, vous vous excuseriez à ma personne et aux internautes. Il n'y a pas de secrets dans les photos que je publie, même si j'ai les originales. Un quiconque se veut communicateur doit savoir lire le support de l'information qui est devant ses yeux avant de lancer une critique. N'aviez-vous pas vu que les photos spécifiques que vous mettez en cause ont une signature des grandes "Agences de Presse Internationales", ce qui revient à dire que celles-ci peuvent apparaître n'importe où quand la nouvelle le requiert.
Retenez seulement je ne suis pas dupe, vous avez voulu me discréditez en cherchant de me mettre KO sans combat à cause du fait que vous êtes fâché pour les histoires que j'ai dénoncées au Diocèse de Tshumbe. Le mal est que vous n'êtes pas discret, vous bavardez partout de ce que vous voulez faire. Peu avant de m'écrire, vous aviez dit aux gens que vous allez me perturber. Cette intention non-étrangère à la colère que vous portez contre moi a prévalu au point que vous n'Avez même pas lu le "Coup de cœur" adressé à ma tante avec la plus grande tendresse filiale. Vous avez bousculé les meubles du secret par votre indiscrétion. J'entre dans la table des matières qui vous a incité à me contrarier sans raison qui vaille. Oserai-je vous poser ces questions et m'attendre à vos réponses sans faux-fuyant :
Qu'est-ce qui serait faux dans ce que j'ai écrit ? ;
À Tshumbe n'a-t-on pas fêté la victoire de Kabila au diocèse avec faste ? ;
Joseph Kabila n'a-t-il pas arrosé de l'argent à l'Establishment de Tshumbe et cela à plusieurs reprise ? ;
Les prêtres et les religieux de Tshumbe n'ont-il pas été abandonné par leur "Magistrature" au pire moment leur désolation quand les Front Patriotique Rwandais a occupé ce diocèse et qu'à la même advertance, un journal des États-Unis en a fait manchette en accusant un "Dignitaire de l'Église" de la place de faire l'éloge des envahisseurs ?
Pourquoi entretenez-vous une liste rouge à Tshumbe contre une catégorie des Tetelas mal vus ? Je ne veux pas dire qui la tient cette liste puisque le cercle fermé des insiders va imploser ... ;
N'as-ton pas facturé à Tshumbé un bateau reçu gratuitement en don aux contribuables institutionnels de la ... ;
N'est-ce pas votre problème avec moi et les autres ne repose que sur le fait que vous combattez tous les Congolais qui s'opposent à Joseph Kabila et, qu'à toute fin utile, vous jouez à l'indicateur des adversaires du régime en les signalant subtilement par votre index littérale ;
Combattre son frère, si tel est votre intention, ne devrait-il pas être une adversité fondée sur la vérité plutôt que d'avoir pour assise les mensonges préfabriqués, etc ...
Vous avez bu aux amphores de la corruption et vous êtes sous plus que "Bacchus". Vous vous vengez en exploitant le nom de ma tante pour pousser l'opinion de mes proches de me reprocher de tout faire en deçà. Je suis préparé depuis des longues années à faire face aux injures, aux mensonges et à "L'éloge à la calomnie". Je le dis à vous et à tous ceux qui m'insultent, je leur réserve une réponse. Les autres sont déjà rédigées. Je n'ai pas peur des balivernes, de la médisance, s'il s'en signale et de toute forme de porter atteinte à ma dignité et à mon prestige serein. Vous n'aurez pas ma peau.
En matière d'écrire et de diatribe, vous êtes un "pygmée littéraire" et vous ne saurez pas faire de l'alpinisme dans le glossaire de la "langue de Molière" et de "Djamba Yohé" par adoption pour les débats comme dans cet éditorial. Vous êtes dans l'abécédaire du français couramment écrit. Et, l'usage des mots tel que vous le rapportez accuse les lacunes d'une éloquence écrite. La langue locale et l'attachement excessif aux termes de votre parler quotidien vous empêche d'intégrer à votre complaisance le discours par lequel vous me heurtez.
II. LE SENS DES PHOTOS QUE J'AI UTILISÉES
MONSIEUR SHUNGU TUNDANONGA,
Lumumba et N'Krumah le 8 août 1960, Accra, Ghana Le même 8 août 1960, c'est la sécession du Sud-Kasaï.
Il est de bon aloi d'éviter d'exposer son ignorance d'une diégèse déroulant les événements du passé. La vérité sur la photo de Kwame N'Krumah est simple. J'ai produit cette photo-là pour montrer que lorsque l'indépendance du "Sud-Kasaï" fut proclamée et les incidences qui s'en sont suivi, "Patrice Emery Lumumba" n'était pas au Congo. Et qu'à toute fin de propagande, ce jour-là, le Premier Ministre était avec Monsieur Kwame N'Krumah au Ghana. Partant, ce que l'on raconte sur "Lumumba" au sujet de tous les maux n'est pas vrai. En fait, c'était pour affirmer ce que j'ai toujours fait valoir. Ce n'est pas mauvais de redire l'histoire telle qu'elle s'était passée. Puis après, Lumumba était aux Nations-Unies, à son retour, il fut contraint de vivre en résidence surveillé bine que de temps en temps, celui-ci réussissait à sortir de chez lui. Mais après le 5 septembre 1960, cette possibilité ne lui fut plus possible, les journées de peine vont commencer jusqu'aux emprisonnements qui vont préparer son assassinat.
Pouvez-vous, en toute sincérité me dire que je divague et que je mêle les genres dans un dossier que je connais fort bien. Votre ambition de vouloir vous mettre dans mes souvenirs ne répond pas de la sincérité, mais d'une charge de violence qui ronge votre cœur contre moi, "Djamba Yohé". J'ai parlé des enfants de Lumumba élevés seul par "Maman Pauline Lumumba", cela n'est que normal à mon sens pour ouvrir le mois des Noirs avec elle. J'ai parlé de plusieurs femmes du monde, de Madame Ingrid Betancourt en cinq séries, j'ai écrit sur "Anne Sinclair" en trois série, j'ai disserté sur "Marguerite Yourcenar", j'ai rédigé des articles de presse sur "Madame Pauline Kabangu" pendant plusieurs jours. Pourquoi une autre congolaise, ma proche parenté et "épouse de premier Premier Ministre" sur laquelle des chapitres de notre histoire s'y réfère ne peut pas être mis en valeur par un récit qui la dépeint en ses hauts-faits ?
Les Présidents Joseph Kasa-Vubu et Fulbert Youlou, Youlou et M. Tschombé
De Alphonse Massamba Débat, je n'ai pas végété dans mon propos. L'évocation de ce nom-là a permis a bien du monde de mon temps de se souvenir de l'époque des tensions congolo-congolaises. Qui plus est, j'ais surtout expliqué pourquoi et comment "Le Socialisme scientifique" est entré au Congo-Brazzaville. Ce n'est pas tout le monde qui connait cette histoire-là, il faut avoir eu à l'époque un intérêt sur les discussions entre Léopoldville/Kinshasa-Brazzaville et avoir également suivi de près les actualités de l'OUA. C'est à cause de cela d'ailleurs que dans le suivi de ma réponse, j'ai affiché une page de couverture de "Jeune-Afrique" pour exhumer ce qui était oublié chez d'autres congolais. Toutefois, c'est de la documentation que je fourni à la jeunesse qui doit absolument être mis au courant de l'histoire de la RDC et de son immersion sur le Continent noir. Dès lors, ceux qui ne le savaient pas, heureusement par ma petite contribution, auront connu qu'il y a eu à Brazzaville un président prêtre, l'Abbé Fulbert Youlou. En tout cas, beaucoup de Congolais de bonne foi m'ont remercié.
III. LE TYRAN ET LE DÉMOCRATE
MONSIEUR SHUNGU TUNDANONGA,
Vous, chef de l'État ou quelque titre du genre, vous ne saurez pas ménager "la chèvre et le chou", vous allez tout manger comme "Monimambu-le-malin". À voir comment vous saisissez la balle au bond sans être invité dans une équipe précise au niveau d'une association sportive de la plume reconnue, vous ferez des victimes sans nombre. Vous agissez comme le frère jumeau de "Néron". Vous êtes sans scrupule et vous fonctionnez avec l'instinct des fauves plutôt qu'avec la sagesse d'un qui se ménage une monture quand il veut aller loin. Vous êtes un "Tyran". Pendant quatre ans, sinon cinq ans, ce que vous m'avez fait n'est pas autre chose que la tyrannie, un militarisme psychologique chargé de cruauté mentale. D'ailleurs, c'est à tout le monde que vous êtes de cette désobligeance cruelle. Vous ressentez une joie psychodramatique dans l'enquiquinement des personnes sans problème avec vous. Et s'il le sont, vous êtes à l'apothéose de de la dilatation de votre nervosité atypiques biotypologique.
La tyrannie est le mode de s'emparer illégalement du pouvoir et de le conserver à ad vitam aeternam. C'et cela la définition fondamentale telle qu'elle était entendue en Grèce antique. Mais dans son évolution, la tyrannie est une invasion d'une dictature qui s'offre le loisir de faire intrusion dans les libertés des autres pour les nuire. Un tyran, c'est aussi celui qui dispose d'un pouvoir absolu sur tout le monde. Ces caractéristiques vous valent. À chaque lecture qu'un Congolais fait sur vos écrits sur internet, celui-ci retrouve ces signalements dans la tension de ce que vous adressez aux gens. Vous êtes une calamité de terreur sans limite de lisière. Votre méthode de déranger les personnes est inhérente à votre personnalité barbare. Votre inclination délinquante à la provocation est une diathèse dont vous devez vous obliger d'extirper, sinon vous allez vivre avec des désordres criminels de comportement abusifs hyperactifs comme c'est le cas maintenant.
Le rapport entre votre personnalité endogène et exogène crée une dichotomie disproportionnée de dépression comportemental. Car, souffrir quelqu'un qui ne vous a rien fait pendant cinq dérive bien d'une téralogie. On trouve cette forme de conduite monstrueuse chez les individus qui se prennent pour le centre du monde. Il y a chez vous de l'embryologie réfractaire qui vous dédouble et vous rend méchant avec quiconque parvient à faire les choses que vous souhaitez accomplir. Mais cette jalousie morbide est une pathologie dangereuse prédispositionnelle à l'agression. Effectivement, vous êtes agressif, je vous plains et je vous prie de cesser de faire cela. Pourquoi vous cachez-vous derrière l'écran de l'internet ? Montrez-nous un peu votre visage, nous allons lire très vite les symptômes de cette jalousie qui vous dévore et vous rend féroce contre les autres.
Plusieurs fois, j'ai esquivé vos attaques, j'ai eu peur de critiquer un grand frère, je vous l'ai même dit. Hélas, avec vous, c'est la récidive des humeurs contre-productive qui accouchent des colères au lieu de semer les sourires. La personnalité que vous véhiculez sur internet est criminogène, car vos injures peuvent amener les gens au suicide. Vous insultez sans circonspection et vous vous adressez aux personnes avec l'intention de démolir leurs âmes. En somme, vous m'aviez tué plusieurs fois, mais comme je suis vacciné contre les attaques malveillantes, je tiens le coup et je résiste. Je vous conseille d'aller voir le psy, cela va vous éviter d'être traîné un jour devant la "Justice pénale". Une trop grande charge de méchanceté peut conduire à la criminalité professionnelle. Je n'ai fait que me défendre en vous répondant, car cinq années d'injures, c'est trop. "Djamba Yohé est un démocrate", il respecte l'être humain et le Congolais même laissé pour compte. Mais "Shungu Tundanonga est un tyran" comme Néron de Rome. Je ne sais pas si vous êtes alcoolique.
Et pour m'arrêter, j'espère que vous allez vous excuser aux aînés du Sankuru pour le mal que vous avez commis.
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord,
Ottawa, le 4 février 2012,
Canada.
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