La pègre Belge pille MAMA KONGO. La trafiquante et mafieuse famille Tshisekedi profite de sa double nationalité pour piller les minerais stratégiques rares au KONGO.
Le 8 août 2025, des négociations obscures entre le régime tyrannique d’Angwalima Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE et les Emirats Arabes Unis avaient fini par la confiscation de 2 millions de dollars et l’extradition de Christian Tshisekedi Pablo Escobar vers Kinshasa et non les États-Unis.
Arrivée à Dubaï en jet privé , avec 8 partouzeuses, les 2 millions de dollars américains étaient pour les Hezbollah au Liban pour l’achat des armes. Christian Tshisekedi Pablo Escobar a menti à la douane des Emirats Arabes Unis que l’argent était pour son amusement personnel, pour le fameux concert de Fally Ipupa à Dubaï. Les Américains n’ont pas été laxistes, ils ont laissé le mafieux de bien s’enfoncer.
Les Émirats Arabes Unis ont saisi la somme d’argent. Ils ont qualifié de Gabegie financière sur leur sol KONGO. Sans fonction officielle, le Mafieux Christian Tshisekedi Pablo Escobar se déplaçait avec plusieurs millions de dollars en espèces pour son loisir officiellement, mais tout le monde sait que c’est lui le trafiquant des armes pour le régime tyrannique d’imposture et d’usurpation de Kinshasa. Acheter des armes aux Hezbollah Libanais ne pose aucun problème de conscience pour Christian Tshisekedi Pablo Escobar.
Au Lualaba dans le Katanga, plus d’une centaine de creuseurs artisanaux à Mutoshi ont été canardés par des soudards GR, devenus des gardiens de mines, sur l’ordre de Christian Tshisekedi Pablo Escobar.
L’exploitation secrète de la mine de Tshinkolobwe, le trafic d’uranium au Grand Katanga par Christian Tshisekedi Pablo Escobar, Christian Tshisekedi, Thierry Tshisekedi et ses cousines Daniella Kamwanya , Roselynne Mbombo, tous des Belges qui pillent MAMA KONGO et la Gouverneure Fifi Masuka en complicité avec des Libanais du Hezbollah, des Arabes du Yémen et des Somaliens pour le vendre à l’Iran.
Dans l’ombre du pouvoir usurpé de Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE MUANA MBOKA YA MOYIBI YA MAPONAMI YA BANA MAMA KONGO à Kinshasa, une vérité explosive se cache : Christian Tshisekedi Pablo Escobar, Thierry Tshisekedi, Daniela Kamwanya et Roselyne Mbombo tous de nationalité belge, sont au cœur d’un réseau opaque mêlant ressources stratégiques, intérêts étrangers et trafic illégal à l’échelle internationale.
Alors que Christian Tshisekedi et Thierry Tshisekedi sont déjà soupçonnés d’exploiter illégalement des concessions minières de l’entreprise ERG (Eurasian Resources Group) pour le cobalt et le cuivre au KONGO dans le Katanga, une autre affaire bien plus sensible éclate : Le trafic et l’exploitation secrète de la mine de Tshinkolobwe, située à quelques kilomètres de Likasi.
La mine de Tshinkolobwe n’est pas une mine comme les autres. C’est ici que les Américains ont, dans les années 1940, extrait une partie de l’uranium ayant servi à la fabrication des bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki. Fermée officiellement depuis des décennies, elle continue pourtant de faire l’objet d’activités clandestines… sous haute protection.
Un trafic d’uranium sous silence
Durant les sept années du règne de Félix Tshisekedi, ses proches parents : Christian Tshisekedi Pablo Escobar, Thierry Tshisekedi, Daniella Tshisekedi et Roselynne Mbombo et la Gouverneure du Lualaba Fifi Masuka sont accusés d’avoir organisé un trafic d’uranium depuis Tshinkolobwe. Le précieux minerai aurait été vendu à travers un réseau complexe impliquant :
- Des intermédiaires libanais, supposément liés au Hezbollah — la milice chiite proche de l’Iran.
- Des passeurs somaliens, experts en logistique clandestine.
- Des acheteurs basés au Yémen, dans une zone de guerre où l’uranium devient une marchandise à haut risque.
Ces opérations auraient été menées dans le plus grand secret, loin des projecteurs, sous couvert de complicités locales et d’un silence étouffant des autorités du gouvernement congolais et de la complicité de Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE.
Haut-Katanga – Panique à Likasi : un camion de Christian Tshisekedi Pablo Escobar rempli de minerais radioactifs a déversé dans une rivière sa cargaison !
Un grave incident environnemental et sanitaire secoue actuellement la ville de Likasi, dans la province du Haut-Katanga, cœur de l’exploitation minière au KONGO.
Selon des sources locales concordantes, un camion transportant des minerais hautement radioactifs a été retrouvé à l’abandon après avoir déversé une partie de sa cargaison dans une rivière située en périphérie de la ville.
Fuite du conducteur somalien et de son équipe !
L’incident s’est produit dans la nuit du 9 au 10 octobre. D’après des témoins oculaires et des agents municipaux présents sur les lieux au petit matin, le véhicule lourd était encore partiellement chargé en minerai. La nature exacte du contenu n’a pas encore été confirmée officiellement, mais plusieurs sources évoquent des matières à forte teneur en uranium ou autres éléments radioactifs issus des anciennes mines proches de Tshinkolobwe, désormais interdites d’exploitation mais dont Christian Tshisekedi Pablo Escobar et ses complices exploitent.
Le chauffeur du camion et son équipe auraient pris la fuite immédiatement après l’incident, laissant le véhicule sans surveillance. Leur destination reste inconnue à ce stade.
Colère et inquiétude de la population
La nouvelle a rapidement fait le tour de la ville, provoquant un vent de panique parmi les habitants, particulièrement ceux des quartiers riverains. Des rumeurs évoquent déjà des symptômes de malaise chez des personnes ayant approché la zone touchée. Des parents craignent une contamination de l’eau, et plusieurs familles ont cessé d’utiliser l’eau des puits et rivières à proximité, faute de communication officielle claire.
“C’est devenue une habitude avec ses Somaliens à chaque fois que ses camions passent ici, on voit des bandits qui veulent les voler. Même les autorités locales ne savent pas quoi faire,” confie un habitant de la commune Kikula.
Silence des autorités, montée de la pression
Au moment de la rédaction de cet article, aucune déclaration officielle n’a été faite par le gouvernement provincial du Haut-Katanga, ni par les autorités nationales.
Des agents de la police auraient toutefois sécurisé le périmètre, tandis que des techniciens de la Société Générale de Carrières et des Mines (Gécamines) seraient attendus pour des prélèvements.
Des ONG locales de défense de l’environnement appellent à une enquête indépendante et à la prise en charge rapide des populations potentiellement exposées. Plusieurs élus locaux demandent également des explications sur la provenance du camion, la nature exacte des minerais et les responsabilités de cette opération illégale ou non déclarée.
Ce drame survient alors que le Haut-Katanga est régulièrement pointé du doigt pour l’absence de contrôle rigoureux dans le secteur minier, notamment en ce qui concerne le transport, le stockage et l’exportation de matières dangereuses.
En attendant les résultats des analyses et le silence des autorités risquent d’attiser davantage la méfiance d’une population déjà éprouvée par les activités des concessions des mines de Christian Tshisekedi Pablo Escobar dans la mine de Tshinkolobwe .
Freddy Mulongo Mukena
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Freddy Mulongo-Article 19 Liberté d’expression !
Freddy Mulongo-Le Pamphlétaire !
Réveil-FM (Freddy Mulongo) Ingeta
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