Au début 1961, dans la foulée de l’élimination de Patrice Emery LUMUMBA, Premier ministre, Maurice MPOLO, ministre de la jeunesse et des sports, Joseph OKITO, président du Sénat à Shilatembo dans le Katanga, 12 nationalistes Lumumbistes dont Emmanuel Nzuji, le frère aîné de Catherine Nzuji Wa Mbombo, sont arrêtés à Léopoldville et ils sont exécutés sommairement le 15 Février 1961 à Kasengulu dans le BAKWANGA par les forces d’Albert Kalonji Mulopwe, Étienne Tshisekedi wa Mulumba, son ministre de la justice.
C’est Victor Nendaka, chef de la sécurité nationale qui fila Catherine Nzuji Wa Mbombo à Joseph-Désiré Mobutu, ce dernier en une Apparatchik de son régime tyrannique. La danseuse de Mobutu Sese Seko a gravi tous les échelons.
Recrutée par Victor Nendaka, après son briefing de la sûreté nationale, Catherine Nzuji Wa Mbombo fut envoyée en Belgique, alors qu’elle n’avait que 19 ans.
Catherine Nzuji Wa Mbombo est passée par le présidence de la section de la commune de Léopoldville actuelle Gombe, elle a spolié toutes les villas coloniales de l’ex-Kalina.
Du secrétariat général du Mouvement pour l’émancipation de la femme, le corps des volontaires de la République, elle devient l’inspecteur d’Etat, une fonction intermédiaire entre le ministère de l’intérieur et le gouverneur de province où elle contrôle 6 provinces, nommée tour à tour Commissaire provincial, vice-gouverneur de la ville de Kinshasa, gouverneur du Bas Zaïre, actuelle Kongo Central. Au lieu de Nzuji , Catherine se fit appeler Nzuzi WA Mbombo pour sa proximité avec les BA KONGO. Présente sur toutes les magouilles, Mobutu Sese Seko s’indigna: CATHERINE ETIKALI KAKA BARRAGE YA INGA EKOMA YA YO !
Connue pour sa rapacité illimitée Catherine Nzuji Wa Mbombo va poursuivre sa montée.
Déhanchements endiablés et ondulations de houle, la danseuse de ventre de Mobutu Sese Seko, Catherine Nzuji Wa Mbombo, est nommée d’abord membre du Bureau politique du MPR, pour enfin atteindre le poste de deuxième vice-présidente du Comité Central du MPR Parti-Etat, la fonction qui de la Constitution de l’époque était équivalent de Vice-président de la République. Elle fut pardonnée à beaucoup de manquements.
Du vivant de Mobutu Sese Seko, la Mastodonte Catherine Madimba Nzuji Wa Mbombo se s’était pas empêchée de s’asseoir sur le vieux Félix Vunduawe Te Pemako, président du MPR, à l’époque, au risque de le tuer et étouffer.
La politique divisé des familles. Les politicailleurs Mabumucrates et profito-situationnistes cherchent dans chaque famille, un traître ou une traîtresse que le régime tyrannique en place élève par des fonctions alambiquées. Catherine Nzuji Wa Mbombo ne parle jamais de son grand-frère Emmanuel Nzuji, Lumumbiste assassiné, pour qu’elle soit dans la lumière.
Impolie, acariâtre, mal élevée, sans éducation, l’ancienne danseuse de ventre de Mobutu Sese Seko malgré ses 80 ans sonnés, va encore insulter tout ma famille, qu’elle dépasse en biens matériels. Plouf !
Freddy Mulongo Mukena
Freddy Mulongo Mukena
Freddy Mulongo-Article 19 Liberté d’expression !
Freddy Mulongo-Le Pamphlétaire !
Réveil-FM (Freddy Mulongo) Ingeta
Mulongo Mukena Mulunda Mulongo
15 FÉVRIER 1961-15 FEVRIER 2025: 64 ANS DU MASSACRE DES JEUNES LUMUMBISTES AU BAKWANGA PAR LE MULOPWE ALBERT KALONJI ET ÉTIENNE TSHISEKEDI SON SÉCESSIONNISTE MINISTRE DE LA JUSTICE !
Patrice Emery LUMUMBA, Premier ministre n’était pas que « Crapaud » d’Étienne Tshisekedi Wa Mulumba, le sécessionniste ministre de la Justice de Mulopwe « EMPEREUR » Albert Kalonji Ditunga.
Maurice MPOLO, ministre de la jeunesse et des sports, Joseph OKITO, président du Sénat, les deux personnalités politiques proches de Lumumba, qui sont assassinés par des Belges, le 17 janvier 1961, avec lui à Shilatembo, étaient aussi des « Crapauds ».
Les Lumumbistes sont des « Crapauds ». Le 15 février 1961, voici la liste des jeunes compagnons de Patrice Emery Lumumba assassinés à Bakwanga « Mbuji-Mayi » dans la sécession de l’État autonome du Sud-Kasaï :
- Jean-Pierre Finant, le Président de la Province orientale
- Jacques Fataki, commandant de la police militaire de Kisangani ;
- Camille Yangara, commissaire du District du Haut-Uelé ;
- Christophe Muzungu, chef de la sûreté nationale ;
- Emmanuel Nzuji, Section Jeunesse MNC.
- Pierre Leopold Elengesa: Conseiller special au conseil, dirigeants des jeunesses MNC.
- Joseph Mbuyi: Ministre/ classe moyenne.
- Jacques Lumbala
- Barthelemy Mujanayi:….
Leur exécution valut à la capitale de Sud-Kasaï le surnom de » boucherie de Bakwanga ».
Condamnés à mort par le tribunal du village, ils ont été exécutés’ à Kasengulu, village proche de Bakwanga aujourd’hui Mbuji Mayi, partie intégrante à l’ époque de l’État autonome du Sud-Kasaï, dirigé par sa Majesté, le Mulopwe, l’EMPEREUR, Albert Kalonji Ditunga.
Un épisode douloureux de l’histoire du pays enfoui dans les oubliettes par les falsificateurs et architectes du plan macabre ayant occasionné la descente aux enfers du pays après l’indépendance.
À l’occasion du 63 ème anniversaire de la commémoration de ce crime odieux, ces jeunes Lumumbistes
ont été assassinés à la suite d’une entente entre ‘’Victor Nendaka’’ et ‘’Albert Kalonji’’.
Pour ce cas précis, c’est Nendaka qui a négocié leur transfert au Sud-Kasaï. Comme la plupart de ces personnalités étaient du MNC, voire des cartels proche de ce part, ce fut-là une occasion de se venger que le Mulopwe a mis en chantier. C’est lui qui ordonne le supplice que l’on inflige à ceux-ci pour que le sort qui leur a été réservé se passe comme souhaité.
Au demeurant, avant même de les recevoir, les lieutenants de Kalonji au Sud-Kasaï, dont Étienne Tshisekedi Wa Mulumba, un « Kalonjiste pure sucre » savait exactement ce qu’ils devaient faire pour éliminer physiquement ces personnalités.
Freddy Mulongo Mukena
Réveil FM International
17 février 2025
