La faute à Angwalima Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE MUANA MBOKA YA MOYIBI YA MAPONAMI, voleur du destin de tout un peuple, qui a voulu sa protection personnelle contre la vente de MAMA KONGO, ses ressources minières stratégiques rares et son peuple, aux États-Unis. Or l’imposteur et usurpateur, MATSHAFU FATSHI TSHIVUBE qui a vendu MAMA KONGO aux Américains, sans l’aval de personne, n’est pas propriétaire de la terre de nos ancêtres.
Le pilleur et receleur de MAMA KONGO est un braqueur, qui a vendu ce qui ne t’appartient pas. L’accord commercial de Washington DC, est léonin car il n’engage pas les BANA MAMA KONGO
Fakwa, Frappeur, Ballados, Checkuleur, Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE croit vendre MAMA KONGO comme il a vendu des pizzas à Bruxelles.
Donald Trump a érigé un grand mur contre le Mexique, le président américain va plus loin. En effet, aux États-Unis : exit le droit du sol, introduit dans la Constitution américaine au lendemain de la guerre de Sécession ? Depuis 1868, le 14è amendement garantit que « TOUTES LES PERSONNES NÉES OU NATURALISÉES AUX ÉTATS-UNIS ET SOUMISES À SA JURIDICTION SONT CITOYENNES DES ÉTATS-UNIS », que leurs parents soient entrés légalement ou non.
D’après le Canard Enchaîné 🦆 🦆 🦆 : symboliquement, au premier de son second mandat, le 20 janvier 2025, Donald Trump a pris un décret présidentiel abolissant le droit du sol. Un décret dont l’application a, depuis, été bloquée par les ordonnances de trois juges fédéraux, rendues au terme de recours particuliers, mais dont la portée « universelle » s’étend, au-delà de l’État concerné, à tout le territoire américain.
Cette pratique judiciaire, qui empêche Trump de gouverner par Oukases, l’horripile absolument. Or la Cour suprême, saisie en urgence, au lieu de statuer sur le droit du sol lui-même, vient de remettre en question la portée universelle -c’est-à-dire nationale -de telles « injonctions » émises par les quelque 870 juges fédéraux.
Concrètement, dans les 28 États où il n’y a pas eu de recours, les enfants ne naîtront plus américains d’ici un mois.
La décision, rendue le 27 juin 2025, a été votée par les six membres conservateurs de la Cour suprême nommés par Trump. Pourtant, lors de l’examen de la cause, le 15 mai 2025, la majorité semblait indécise, et l’un des six, le juge Brett Kavanaugh, avait critiqué ce détricotage d’un droit constitutionnel en fonction du territoire : « Que fait un hôpital face à un nouveau-né ? Que fait un État ? ». Depuis, le procureur général du Colorado, le démocrate Phil Weiser, a abondé dans son sens : « Est-ce que des habitants du Wyoming, vont vouloir venir dans le Colorado pour y faire naître leurs enfants ? ».
Devant ce coup décisif porté au système des « Checks and balances » (« Freins et contrepoids ») qui oppose un garde-fou démocratique à son pouvoir présidentiel, Trump exulte d’avoir enfin les mains libres.
Il a célébré « UNE VICTOIRE GIGANTESQUE », « UNE DÉCISION QUI COUVRE UN TERRITOIRE IMMENSE ». Et de citer, entre bien d’autres secteurs la possibilité, désormais, de licencier à sa guise les fonctionnaires fédéraux.
Y compris les juges qui osent lui résister ? Même s’ils sont en principe nommés à vie…
C’est à Donald Trump que MATSHAFU FATSHI TSHIVUBE a vendu MAMA KONGO pour demeurer éternellement à son pouvoir usurpé. Sauf que MAMA KONGO n’appartient nullement à Tshisekedi TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE.
Pays hospitalier, MAMA KONGO a accueilli sur ses terres, des individus qui ont pris des armes pour exiger la nationalité collective des Tutsis Congolais. Or aux États-Unis, où les Tutsis Américains sont inexistants, bientôt les enfants des immigrés n’auront même plus le droit du sol.
Et c’est Donald Trump, le président américain, qui veut les mains libres sur les ressources minières stratégiques rares de MAMA KONGO ?
Freddy Mulongo Mukena
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Freddy Mulongo-Article 19 Liberté d’expression !
Freddy Mulongo-Le Pamphlétaire !
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