Durant les 18 ans de règne de l’imposteur- usurpateur Hyppolite Kanambe Kazembere Mutwale Alias Kabila, Léonard She Okitundu « ANACONDA » ne vivait qu’au Grand Hôtel de Kinshasa. Sans maison à Kinshasa ? Sans femme ni enfants ? Le dinosaure Josephiste, en bon tireur d’élite de gamines a toujours préféré la chambre d’hôtel à la Villa de la fonction.
Pourtant Léonard She Okitundu, Dinosaure impénitent et Mammouth Josephiste sans crier gare a traversé la rue pour rejoindre Angwalima Félix TSHILOMBO TSHINTUNTU L’AFFABULOCRATRE MUANA MBOKA YA MOYIBI YA MAPONAMI YA BANA MAMA KONGO. À 79 ans, il est encore quêteur d’emploi.
Léonard She Okitundu « ANACONDA » a occupé des fonctions régaliennes : Il a été ministre des affaires étrangères du 20 novembre 2000 au 4 avril 2001, ambassadeur Itinérant du 11 janvier 2004 au 7 mars 2005, directeur de cabinet du 7 mars 2005 au 17 mars 2007, sénateur du 19 janvier 2007-19 décembre 2016, ministre des affaires étrangères du 19 décembre 2016-7 mars 2019.
Ennemi de MAMA KONGO, Léonard She Okitundu « ANACONDA » n’a travaillé que pour son ventre. Le Ventriote a excellé dans sa traîtrise. Ministre des affaires étrangères, il a placé ses hommes et femmes tous de Tetela dans les ambassades.
Le pire est que Léonard She Okitundu « ANACONDA » a enlevé la plaine de MAMA KONGO contre le Rwanda, laissant celle de l’Ouganda à la Cour Internationale de Justice (CIJ).
En effet, le 23 juin 1999, le gouvernement congolais portait plainte devant la Cour internationale de Justice (CIJ) contre le Rwanda de Paul Kagame, Führer de Kigali, Hitler Noir Africain et tyran-dictateur rwandais, suite à l’agression d’une partie de son territoire par des troupes régulières de ce pays.
La guerre des six jours à Kisangani est une succession d’affrontements meurtriers entre l’armée ougandaise et l’armée rwandaise à l’Est du KONGO. Du 5 au 10 juin 2000, durant la deuxième guerre du Congo. Selon le groupe Justice et Libération, une association des droits de l’homme basée à Kisangani, les affrontements causèrent environ 1 000 morts et au moins 3 000 blessés, dont la majorité dans la population civile.
Le 15 janvier 2001, la RD Congo, via Léonard She Okitundu « ANACONDA » agent de Louis Michel et sous ses pressions, retirait ladite plainte. Et le lendemain 16 janvier 2001, la terre entière apprenait l’attentat qui ôta la vie au président congolais, M’zée Laurent-Désiré Kabila. Et c’est depuis Bruxelles que Louis Michel, ministre belge des affaires étrangères annonça dans les médias internationaux dont RFI, le décès de M’zée !
Depuis quand un étranger est sensé annoncer la mort d’un chef d’État d’un État étranger ? En droit international, Louis Michel avait-il le droit d’annoncer le décès de M’zée Laurent-Désiré ? Que l’on aime un individu ou non a-t-on le droit d’annoncer sa mort, surtout si l’on est un ministre de la Belgique coloniale ?
Dans une ordonnance de la Cour internationale de Justice datée du 30 janvier 2001, on peut lire : «Le président de la Cour internationale de Justice, (…). Considérant que, par lettre du 15 janvier 2001, reçue au Greffe par télécopie le même jour, l’agent de la République démocratique du Congo, se référant au paragraphe 2 de l’article 89 du Règlement, a fait savoir à la Cour que le gouvernement de la République démocratique du Congo souhaitait se désister de l’instance et a précisé que «celui-ci se réservait la possibilité de faire valoir ultérieurement de nouveaux chefs de compétence de la Cour»; «Considérant que, par lettre du 22 janvier 2001, reçue au Greffe par télécopie le même jour, l’agent du Rwanda a informé la Cour que son gouvernement acceptait le désistement de la République démocratique du Congo de l’instance ; Prend acte du désistement de la République démocratique de l’instance introduite par la requête enregistrée le 23 juin 1999 ; Ordonne que l’affaire est rayée du rôle.»
Le 23 juin 1999, la RD Congo introduisait sa plainte notamment contre le Rwanda devant la Cour internationale de Justice. Par ordonnance du 21 octobre 1999, la CIJ invitait les parties rwandaise et congolaise à déposer leur mémoire et contre-mémoire respectivement le 21 avril 2000 et le 23 octobre 2000. Le Congo n’ayant pas accompli cette formalité, la CIJ lui accorda un nouveau délai jusqu’au 23 janvier 2001.
Contre toute attente, par lettre datée du 15 janvier 2001, la RD Congo, en l’occurrence l’avocat belge Michel Lion, décide le retrait de la plainte. Selon cet avocat, il a été « contraint » d’agir dans ce sens au motif qu’il n’avait plus d’interlocuteur à Kinshasa. Bref, plus personne ne lui indiquait la conduite à suivre dans le cadre de cette procédure. Léonard She Okitundu « ANACONDA » a contraint l’avocat belge à retiré la plainte. Il ne répondait plus au téléphone pour donner des instructions. ANACONDA faisait le mort.
Qui a ordonné le retrait de la plainte de la RD Congo? Quel est le fait justificatif d’une telle décision alors que le bon voisinage est loin de caractériser les relations entre les deux pays? Les réponses à ces questions ne peuvent être fournies que par Hyppolyte Kanambe Kazembere Mutwale Alias Kabila qui «dirige» par imposture et usurpation le fameux Congo démocratique depuis la disparition non-élucidée à ce jour de son prédécesseur M’zée Laurent-Désiré Kabila.
Le 17 mai 1997, les troupes de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo) composées pour l’essentiel des éléments appartenant aux armées rwandaise et ougandaise installent M’zée Laurent-Désiré Kabila dans le fauteuil laissé vacant par le maréchal Mobutu Sese Seko. Le 29 juillet 1998, le chef de l’Etat congolais flairant une conspiration ourdie par ses mentors décide de mettre fin à la «coopération militaire» avec le Rwanda et l’Ouganda. C’est à nouveau la guerre!
En décembre 1998, pour endormir le peuple, Léonard She Okitundu ANACONDA chargé des Droits humains, publie un «Livre blanc» qui couvre la période du 2 août 1998 au 5 novembre 1998. Le document fournit des amples détails sur les «violations massives des droits de l’Homme à l’Est de la RD Congo» commis par trois «pays agresseurs», à savoir : l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi.
Signalons qu’en décembre 2000, les criminels du RCD-RWANDA soutenus par l’armée rwandaise, venaient de s’emparer de la localité de Pweto au Katanga. Les troupes congolaises déployées sur le terrain étaient commandées par…le général-major Hyppolyte Kanambe Kazembere Mutwale Alias Kabila. La débâcle fut mal digérée par M’zée Laurent-Désiré. Pour lui, il fallait poursuivre la guerre.
Des sources bien informées assurent que M’zée Laurent-Désiré n’a plus jamais adressé la parole à Alias Kabila, assigné à résidence à Lubumbashi, jusqu’à la date fatidique du 16 janvier 2001. Un démenti aux balivernes reprises par quelques journalistes , coupagistes et QUADO complaisants selon lesquelles M’zée Laurent-Désiré aurait laissé un «testament» confiant sa «succession» à «son fils préféré». Fils putatif qui a trahi sa mémoire, qui en 18 ans de règne n’a jamais pu terminer le procès contre les assassins de son père ?
Si Hyppolite Kanambe Kazembere Mutwale Alias Kabila répond un jour de sa gestion calamiteuse au KONGO, Léonard She Okitundu ANACONDA devra être à ses côtés..
Freddy Mulongo Mukena
Freddy Mulongo Mukena
Freddy Mulongo-Article 19 Liberté d’expression !
Freddy Mulongo-Le Pamphlétaire !
Réveil-FM (Freddy Mulongo) Ingeta
Mulongo Mukena Mulunda Mulongo
Réveil FM International