Chère Candide Okeke LANGANYA,
De même que tu m’as commis comme plume d’emprunt pour t’attaquer abusivement au journaliste Freddy Mulongo Mukena, je me dois, ce premier matin de septembre, de te rectifier, de te corriger et de décrier ta fourberie à la face du monde.
Dans le pamphlet kilométrique que tu m’as prié de t’écrire contre le patron de Réveil FM International, tu m’as fais mettre en gras » Honoré Ngbanda » – une fois de trop – dont, depuis la mort, le nom est devenu ton fonds de commerce et que tu uses et abuses au gré de tes combines et manigances.
Chère Candide Okeke LANGANYA, hic et nunc, je te pose cette question : » Te crois-tu vraiment être attitrée pour évoquer le nom de Honoré Ngbanda sans le tourmenter dans sa tombe ? Oublies-tu, combien de fois tu l’as heurté, choqué et même humilié de son vivant ? Te souviens-tu du nombre de fois que tu avais eu à le nommer ‘mobange oyo » en y prenant un fou plaisir? Le volume est bon? Tiens-toi bien, ce n’est que le début du concert.
A travers moi, NL, tu as tenté de lézarder la réputation professionnelle de Freddy Mulongo Mukena en supputant sur le fait que son écriture serait lacunaire. Mais, est-ce que toi, je dis bien toi, tu es capable d’écrire une seule phrase en français correctement ? La réponse est, sans détour, non. Sinon, tu ne passerais pas ton temps à pleurnicher auprès des » plumes », bien connues, pour que l’on te rédige de quoi pouvoir t’exprimer sur papier notamment.
Chère Candide Okeke LANGANYA,
Est-ce que toi, je dis bien toi, une femme de petite vertue, une rombière et une roturière, tu peux faire la morale à quelqu’un ? Honoré Ngbanda, dont le nom est aujourd’hui ton héritage sans avis du notaire, ne cessait de te dire : » Candide, arrête, arrête…mais Candide, calme-toi » lorsque tes délires t’amenaient à des folles demandes et sans gêne.
Tu as fait du CNRC, un rempart pour tes activités obscures, notamment pour les services spécialisés français pour lesquels tu as infiltré la résistance congolaise, est-ce que tu peux vraiment te regarder devant le miroir de la conscience ? Là aussi, la réponse est non.
Chère Candide Okeke LANGANYA,
Intellectuellement inapte car tu n’as pas réussi à aller loin dans tes études, tu pouvais te prévaloir, au moins, d’être une femme mais , dommage, tu as raté cette vocation. Après ton passage à la DDAS, tu as fini par avoir un mari blanc. Mais, frivole et cupide, tu as passé ton temps à le tromper et même à te faire engrosser par un autre homme dans le foyer conjugal. Veux-tu que j’ajoute ? Prochainement, je reviendrais avec force révélations.
Après l’échec de ton mariage, tu aurais pu te ranger mais, non, c’est plus fort que toi. Hormis le fait d’être devenue une goudou, – entendez brouteuse des dames – tu t’es spécialisée » en femme seule cherche hommes mariés ». Depuis lors, ton passé temps favori, c’est de mettre en galbe tes protubérances afin de séduire uniquement des hommes qui ont leurs femmes. Jezzabel, ton surnom, est venu de là.
Chère Candide Okeke LANGANYA,
Jusqu’à quand tu vas continuer à souiller le nom de Honoré Ngbanda ? Quosque tandem ?…De son vivant, tu en as abusé. Tu l’as séduit et au lieu de lui être fidèle, tu ne manquais l’occasion de le cocufier même au sein même de l’Apareco. Malgré le fait qu’il te donnait ce qu’il pouvait, tu l’as trompé avec cet officier supérieur ex-FAZ, avec Monsieur Movate, avec ce journaliste et, et, et… Quelle canaille !
Vraiment…mais vraiment, ton portrait est répugnant tant tu es sans limite dans l’immoralité. Toi qui, Ngbanda mort et sans attendre qu’il ne soit enterré, as eu l’audace de révéler à sa femme que tu en étais la maîtresse, peux-tu te permettre de faire comme si tu l’avais aimé un seul jour dans ta vie de roubllarde ?
Chère Candide Okeke LANGANYA,
Ce n’est que le commencent du roman que je suis en train d’écrire à ton sujet. Roman intitulé » Protubérances malsaines ». Je me réserve pour la suite. Les personnages y seront nommés et les faits plus explicites.
Bonne lecture à tous….
MOHAMED MBOYO EKULA Mboyo Ekula